yscycsyyscccy
Vous ne trouverez pas chez moi de fusil
Vous ne chercherez pas chez moi de vestiges humains
Vous ne pénétrerez pas chez moi
je ne vous laisserez pas faire
D'ailleurs j'ai muré les portes
Quand vous les forceriez
Je n'ai pas de chez moi
je suis un apatride
_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ __ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _
Quand je suis au piano je regrette d'avoir scié cet obus.
_ _ _ _ __ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _
Distante ? Je hais l'oeil du pandore rivé à ma ceinture
A-t-il plus des deux dents que je lui vois
Moustache jaune et jugulaire
martingale ey képi noir
picrate et lubricité
_ __ _ _ _ _ __ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ ___ __ ___ _ _ _ _ __ _
Bovidé imaptient symptôme transmissible.
__ _ _ _ _ _ _ _ __ _ __ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ __ _ _ _
GISANT ET GISANTE
GISANT SANS VIE
DE SON OEIL TROUBLE
INTEROGEANT LE BOURREAU RADIEUX
ON PEUT VOIR LA NOBLE DEPOUILLE DU VIEUX
GISANTE
PURULENTE ET DE GLACE
D'UN SURSAUT DE PUDEUR
SE VOILANT LA FACE
S'ETEINT LA VIE SANS HEURT.
Stoïc, toujours stoïc
En ricant, broyé pa rles coups,le digne moine, fier inquisiteur, fit entendre un bref commandement :
ECONOMISEZ L'ENERGIE §
Porte bonheure
Mon dernier poème a été publié à 13 : 13 l e13 janvier.
C'est un hazard, quelle chance.
ça va m'apportez des comm's. Je sens la gloire qui s'approche.
Le vent
UN vent qui laisserait
La lumière des fagots
Un sang qui boirait
Les feuilles au repos
Indéfférence
INDIFF2RENCE OU APATHIE
LA SUPREME IGNORANCE DU CANARI SURGIT
COMME AU DETOUR D4UN BOIS
COMME SI LE VENT QUI ARRACHE LES YEUX DES ENFANTS
NE DEVAIT JAMASI TORTURER SIRENES ET FABYLONS;
SPORT
Si on empaillait les meres de famille
les generaux de huit ans
ne seraient pas medailles d'or de judo.